Vinca minor atropurpurea : Une de mes chéries, je ne me lasse pas de sa beauté ! Et en plus, la forme "atropurpurea" refleurit tout l'été. Le bois (ancien cimetière!), privé, où elle pousse est en cours de nettoyage, je crains que celui-ci ne soit quelque peu énergique. J'en ai donc accueilli dans la pouponnière. Comme plante de jardin, je la recommande, c'est un couvre sol idéal, un peu difficile à trouver mais cherchez bien !
V. minor \"atropurpurea\" : Encore elle !
Vinca minor double : Une bonne nouvelle pour cette fleur : un excellent horticulteur la teste actuellement en culture, elle a de bonne chance d'être bientôt distribuée, et conservée ! Merci à Loïc Monceau, horticulteur à Bulhon (63)
La forme double, in situ : Vraiment un bonheur !
Vinca minor, telle qu\'on la rencontre le plus souvent : C'est la forme type de l'espèce, la plus souvent rencontrée : c'est elle qui a permis au groupe de recherche Historique et Archéologique de la vallée de la Sumène d'établir, dans son secteur, la coïncidence troublante des stations de petites pervenche avec les sites médiévaux désertés.
Rose de Provins : Mignonne, allons voir si la rose....
Arrivée, dit-on, au XIIIème siècle, rapportée des Croisades par le chevalier Thibaud IV de Champagne, elle se répandit depuis son château de Provins. Cette belle légende de la rose et du chevalier ajoute au charme de la belle robe de pourpre. Rose rouge de la Guerre des deux roses, rose des enluminures et des poètes, elle est un parfait exemple de la valeur "culturelle" que peuvent avoir ces végétaux qui ont marqué l'histoire et l'imaginaire.
N'en déplaise au poète, quand vient le mois de juin, la robe de pourpre nous éblouit encore de sa fraîcheur !
Rose de Provins et nigelle de Damas : Une association que j'aime bien, ces deux là sont faites pour s'entendre
Chénopode Bon-Henri : Cet "épinard perpétuel" pousse généralement en altitude. Les chercheurs se demandent si il a vraiment été cultivé ou simplement cueilli. J'incline quant à moi à penser qu'il a été cultivé ici. En effet, je l'ai trouvé loin de son habitat naturel : derrière le mur du jardin du château des Martinanches, à Saint-Dier d'Auvergne, et à Egliseneuve près Billom. Dans les deux cas il est absent dans la nature environnante, et dans les deux cas il pousse au voisinage de l'homme.
Doronic sp :
On appelle herbe aux panthères le Doronic pardalianches, qui était censé protéger des bêtes fauves. Is
Est-ce pour cela qu'on la trouve sur les vestiges médiévaux ? Celle-ci pousse autour du château des Martinanches, à Saint-Dier d'Auvergne.